Pour Jeanne Détot-d’Andriesens, ce thème traite du littoral et de la nature. Elle y est sensibilisée depuis son enfance dans maison familiale Bidart touchée par l'érosion de la falaise. D'une manière plus générale c'est la nature transformée par la présence de l'homme (anthropocène) qu'elle évoque dans ses œuvres, dessins et peintures, pleines de poésie et de sensibilité.
Pour Luc Detot, ce thème traite du corps et de la mémoire. L'érosion est celle du temps sur les visages et sur la peau. Les plis du visage et du corps rejoignent les plis de la terre dans de grands dessins à la fois portraits et cartes topographiques.